Merci à vous et
Quelques infos supplémentaire sur le matériel :
Préparation de mes voitures :
Roulements habiles, au carburosulfure de coin avec finition brute, cage en fluoromagnate de persienne, prise dans la masse, soudée au chalumeau, repoussée à la main, biseautée sur les cotés.
Axes équilibrés par une lente prise rapide et refroidis à l'ancienne sur marbre rose de Carnac, enrobage nyloplasmurge suractivé par dégringolades remontantes successives.
Moteur NC28 version 112, modifiée 117 et rectifiée 182 à la truelle et capilotracté, induit bourjouflé en série avec rapport 52/13 et trempé au suif, aimants de surface polis au débotté en profondeur avec retournement des couches subalternes au bramure de polytriguite (ou tripolysulfamidésoxydocarbotoluène, pour les initiés).
Je préfère les 2 roues maurice avec ceinturage mouillées à sec par procédé galvinopercuteur à chaud en chambre froide, avec 4 jantes en paires plurielles, traitées sporadiquement au bleu et cyniquement influées à droite par accumulation transitoire des ions possibles en phases oxylocarbocyclique.
Mes pneus sont constitués d’un mélange de colpax-ridure et de latex pur. Cela a pour effet de donner une parfaite adhérence que ce soit par temps sec (genre slick) ou par temps de pluie (genre slip), méthode dite « Caméléon rieur » brevets Michyear & Goodlin.
Maintenant, le traitement des châssis :
Les dessous sont en matériaux composites, brevet Aubadistring, ils recèlent ce qui ce fait de mieux et nous l’avons vu plus haut, tout est bien réfléchi, d’un professionnalisme grésible à toute épreuve. Parfois je découpe en furprolle surdimensionnelle grâce à ma cuillère DeChopin, c’est dire le boulot !
Une relative préparation/sortie de boîte peut être entreprise sans nuire au plaisir impatient de rouler, graissage de l’ensemble pignon/couronne au silicone Karnét, une goutte d’huile de vaseline pletidrure, viscosité 10/50 de chez Iggrol au niveau des axes et du ressort du guide, façonnage des pneus façon crêpe bretonne, type Brahamm (-0,5mm).
La piste :
Piste Ninco millésime 2011, usure du grip d’accrochage à 3%, hygrométrie 65%, pression atmosphérique 1002mpa, altitude 97m.
Mes Poignées :
Poignées électronique tamèr ou Senfil WICO le roi, 5 fils cuivre pur 99%, section 4mm2, longueur 1,2m résistivité 2 ohms/m, frein électromagnétique triple X (trois fils couplés en dérivation pour un meilleur freinage), dissipateur thermique de résistance ventilé HPZ6 (données constructeur 78°/3000Kcal/cm2/s – alimentation du ventilo séparée galvaniquement par optocoupleurs sous 12V négatif) .