Mon prochain slot sera l'Alfeta 159 F1 au 1/24. Je vais faire des finitions intérieur et moteur et je ferai un tuto comme je l'ai fait pour le Bellitanker voir "Vous m'avez refilé votre satané virus et je vous dis pas merci !" dans le menu : Scratch
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Bon, je vais pas vous refaire le chapitre sur ma passion de Ferrari, mais en plein dans les années 90, je m'étais mis en tête de constituer un collection de Ferrari au 1/32 (oui c'est plus abordable que des vraies), toutes marques confondues mais un seul modèle de chaque. Pour être clair ; une seule GTO 1962, une seule 250 GT, une seule 250LM etc. Le problème, c'est que les fabricants manquaient d'imagination et le plus souvent reproduisaient la même voiture et délaissent les moins en vue. Ainsi, on trouvait à l'époque, une 250 LM, chez Monograme, Polistil, MRRC/Airfix, Troby et d'autre que j'ai oublié ; mais pas de Testarossa ou 250 chassis long Tour De France. Me suis donc lancer dans des scratchs à repetition.
L'une des plus faciles fut cette petite Testarossa, à friction en vente dans les stations service sur l'autoroute. Lorsque je l'ai achetée, elle était orange avec des roues vertes (si ! le gars qui avait choisit les couleurs avait sans doute une revanche à prendre sur Ferrari) pas d’intérieur et des vitres opaques noires. Je me suis donc appliqué à faire un intérieur, des vitres en emballage de salade et d' y introduire un pilote.
Malheureusement, avec le temps, les vitres ont un peu ternies.
Le chassis lui était une hybridation étrange, l'avant demeurait celui du jouet, sur lequel j'avais installé un support de guide, mais l'arrière était un chassis SRS1 de SCX, le meilleur chassis de l'époque et pour tout dire cette petite auto roulait plutôt bien!
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- Sujet : Vous m'avez refilé votre satané vir...
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Avant dernier stade, l'auto est enfin prête à être assemblée. le pilote est en place, son pare-brise découpé au disque de coupe Dremel aussi. ainsi que les pots d'échappement.
Au passage ces pot venaient d'une F1 12 cylindre, j'ai donc découpé et retirer trois pots de chaque coté, pour plus de réalisme, vu la taille de l'engin c'est plus facile d'y introduire un V6 qu'un V12.
sur les photos ci-dessus et ci-dessous, les flèches maquées A et B désignent les puits de vissage avant et arrière. La C désigne la visse de maintien du moteur, qui pousse ce dernier en pression dans son logement. La flèche D pointe la visse de maintien du train avant qui est solidaire du support de guide. A noter que la voiture est entièrement démontable, le moteur peut être remplacer ainsi que la transmission.
Voici ci-dessous, une vue du dessous de l'auto, une fois fermée, les barre de maintien du train avant sont en-clipsées dans le tube collé à la carrosserie, de façon à pourvoir être démontées.
Voici maintenant quelles photo du produit presque finit, il manque encore les décos.
Vues de face
Vue de dos (ma préférée)
Vue de profile, notez le reflet des roues sur la carrosserie, l'effet alu poli de la peinture est plutôt sympa.
vue de trois quart arrière. la double bosse derrière le pilote (vue sur les photos lors des premiers montages, a été réduite à un seul bossage, plus esthétique.
Je rajouterai les photo de la voiture avec ces décos une fois finie. Prochainement dans ces pages, les Scratch sur base d'Alfa Roméo 159 F1 "Alfeta" au 1/24.
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- Sujet : Alfetta 159 F1 au 1/24
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Un peut d'histoire pour commencer :
L'Alfa Romeo 159 Alfetta est une monoplace de Formule 1 fabriquée par Alfa Romeo en 1950-51. Elle dérivée du modèle 158 qui avait dominé les Grands Prix jusqu'en 1950.
Son moteur est un huit cylindres en ligne de 1 500 cm3, alimenté par un compresseur volumétrique Roots à deux étages, développe 425 ch à 9 300 tr/min. La version engagée l'année suivante atteignait les 450 ch à 9 500 tr/min en fin de saison.
L'Alfa Romeo 159 a marqué l'histoire de la Formule 1 pour avoir été équipée du moteur de 1 500 cm3 le plus puissant jamais construit. Toutes les autres caractéristiques de cette monoplace d'exception représentent un record, à commencer par son poids de seulement 710 kg, le rapport poids/puissance de 1,67 kg/ch, la capacité des réservoirs d'essence de 350 litres et enfin, sa vitesse de pointe de 305 km/h.
Elle court pour la première fois, au Grand Prix d'Italie le 3 septembre 1950, la dernière épreuve de l'année. Puis elle remporte facilement les trois premiers Grands Prix de Formule 1 de 1951 mais ne remporte ensuite que la dernière course de la saison en Espagne le 28 octobre. Durant les sept Grands Prix de cette saison, l'Alfa 159 décroche à chaque fois le meilleur tour en course (cinq fois avec Fangio, deux fois avec Farina). Ce fut la première voiture de F1, pilotée par Fangio qui a conquis à son bord son premier titre mondial cette année là.
Malgré cela Alfa Romeo, qui voulait consacrer tous ses efforts financiers pour développer sa production de voitures de série, décida de se retirer de la Formule 1 et des compétitions après la saison.
La maquette :
Commercialisée par Smer dans les années 50, avec en autre la Fabuleuse Talbot Lago Grand Prix déjà "scratchisée" avec talent par Bargeot et Imagilles. Le moule fut ensuite repris par Heller et plus récemment par Mister Craft, une obscure marque Polonaise. C'est cette dernière mouture que j'ai acquis sur E-Bay pour une douzaine d'euros.
Vu le nombre de pièces contenues dans la boite, elle ne vaut guère plus. Mais le moulage est correct et les maquettes comprenant de nombreuses pièces sont forcément plus fragiles et donc moins adaptées à un usage sur piste de slot.
La notice de montage, ne ferait pas peur à un enfant de dix ans. Elle est d'ailleurs presque superflue, bien que sur la boite ne niveau de difficulté est noté "3" !?! Sans doute le froid en Pologne oblige les maquettistes à pratiquer avec des mouffles.
Pourtant faire de ce kit une belle voiture de circuit, ne devrait pas être une mission trop difficile, à condition de se concentrer sur le compartiment moteur, le poste de pilotage et les roues.
Commençons donc par le moteur, l'idéal étant de se procurer des photos de l'original, ce qui est devenu facile à l'époque d'internet.
Dans le kit, le moteur est constitué de 13 pièces en comptant l'échappement. Pas mal si l'on considère que le kit au complet n'en contient que cinquante et une !
En regardant les photos, on remarque que le block moteur est de couleur alu, alors que les cache culbuteurs sont noir. On va donc assembler le bloc et le peindre couleur alu.
Pendant que la peinture sèche sur le bloc moteur on en profite pour peindre en noir les cache-culbus. A suivre...
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En fait j’ai découvert ces étrange machines il y a peu, en tombant par hasard sur une pub pour les montres Bell & Ross, voir ci-dessous.
L’engin sur cette photo n’existe pas puisqu’il s’agit d’image de synthèse.
Pourtant les « Belly Tankers ont bien existés et en nombre ! Peu après la guerre de Corée, les surplus de l’armée regorgeaient de « Belly Tanks » les réservoirs auxiliaires pour avion de chasse.
Les fondus de vitesse absolue sur le lac salé de Bonneville, ont vite compris que la forme aérodynamique de ces réservoirs était un atout dans la course à la performance et le Belly Tanker est devenu une mode chez les hot roaders.
Il en a existé plus d’une cinquantaine, dont voici quelques photos qui m’ont servies de modèle à mon scratch. Oui parce que l’envie m’a pris de vouloir faire un scratch au 1/32 de ces étrange machines.
Je ne vais pas revenir sur la construction de ce Scratch que j’ai détaillé dans un autre post, mais juste intercaler des photos des vraies machines avec celle de mon petit engin en espérant inspirer des vocations parmi mes amis sloteurs.
Il en a existé de touts les tailles avec des variantes habitacle fermé ou ouvert train arrière déporté ou pas. Les différents réservoirs adaptés à différentes missions et types d’appareils ont ouverts de nombreuse possibilité aux mécano-ingénieur de génie qui ont osé aller cherché la limite dans de telles machines.
Je vous invite d'ailleurs à aller voir ces quelques Vidéos, impressionnantes !
https://www.youtube.com/watch?v=69dIviE7zoI
https://www.youtube.com/watch?v=wQtW-eMPnto
https://www.youtube.com/watch?v=NYyaNkz5KfM
https://www.youtube.com/watch?v=PnPLziw1aOs
https://www.youtube.com/watch?v=Zu6qMH6m8p8
https://www.youtube.com/watch?v=nhdBpzlXlcc
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C'était en 2002, Mon ami David s'ennuyait à mourir dans son cabinet de prothésiste dentaire et je n'étais pas débordé par mon job de prestation de service en slot racing (si!) .
Bref on s'est mis en tête de fabriquer notre propre modèle en résine pour le commercialiser. Après avoir cherché un petit moment on est tombé d'accord sur la Peugeot 905 victorieuse au Mans en 1992 et 1993. Le choix paraissait judicieux, la voiture n'avait jamais été reproduite en slot, c'était le dixième anniversaire de sa première victoire et c'était une très jolie voiture.
Pour des raisons de prix de revient et de facilité d'assemblage nous avions choisit de reproduire la première version ci-dessous.
Après des semaines de recherches, pour avoir un maximum de photos et des côtes précises, David avec beaucoup de talent à sorti une première coque après trois précédentes ébauches et nous sommes enfin arrivés au proto de préproduction ci-dessous.
Nous avons alors fait parvenir un deuxième exemplaire de Pré-série à Mondialtec qui était prêt à passer commande pour une série des 50 exemplaires. Mais trois problèmes sont venus mettre un terme à l'aventure :
1- Notre moule en Silicones ne supporteraient pas plus de cinq reproductions avant de se détériorer ; ce qui impliquait qu'il fallait refaire un moule à partir du master tout les cinq exemplaires. L'assemblage de l'aileron arrière en 6 morceaux prenait aussi beaucoup de temps, tout comme la peinture et la pose des décalcomanies; nous étions pas équipés pour la production en série. Et chaque exemplaire aurait été vendus à prix d'or.
2- Notre résine dentaire n'était pas adaptée à des pièces de grandes dimensions et de faible épaisseur (comparé à une dent) et donc ne résisterait pas au premier choc.
3- En reportant les côtes strictement à l'échelle notre model était légèrement plus petit que la production Scalextric de l'époque qui était au 1/30 pour le groupe C.
Bref de ce beau projet, il ne reste que ce modèle et le master.
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- Sujet : Alfetta 159 F1 au 1/24
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Alfetta la suite.
Nous en étions donc à faire le moteur. Attention c'est du poids en plus et si on cherche le performance, mieux vaut faire l'impasse. D'autre par il faudra que le capot soit amovible, sans pour autant se faire la male au roulage, pas forcement facile. à obtenir.
Ceci dit tel qu'il est livré dans la boite le moteur manquait suffisamment de détail pour ne pas être pris au sérieux. Alors tant qu'a le rendre visible, il faut qu'il ai un minimum de gueule ce "berlingo".
On à donc peint le bloc en Gris argent metal, et les caches culbuts en noir, d'ou la petite polémique ci-dessus.
Ce moteur était compressé et le compresseur de la boite me semblait un peut léger. on va donc en faire un plus costaud. on va aussi ajouter de fil de bougie, une tête de delco et une Bobine. cette dernière n'est pas encore en place sur la photo ci-dessous.
Pour les bougies, rien de bien compliqué, les fils jaunes sont pris dans le genre de cable qui relie votre téléphone fixe à sa prise murale. surtout ne pas oublier de retirer l'âme en cuivre qui le rend trop rigide(A sur la photo ci-dessous). Les antiparasite noirs sont des gaines de fil électrique d'un diamètre plus important. ils ont été prélevés dans un vieux magnétoscope (Lorsque l'on fait du scratch tout est bon à récupérer). J'ai ensuite enficher mes antiparasites sur les bougies figurant déjà sur le bloc moteur en plastique. Une pointe de colle cyano et le tour est joué. les fils des quatre premières bougies sont ensuite regroupés par un tout petit bout de gaine thermo, resserrée au fer à souder. La même opération est répétée pour les huit fils que l'on va entrer dans la tête de delco. La tête de delco est faite avec le compresseur du kit (celui qui était trop petit). On prend soin de rajouter dans l'assemblage un neuvième fil, celui sur la photo qui va nul part, et qui par la suite ira dans la bobine.
Le compresseur est un assemblage : J'ai découpé un bout de tole (B) dont j'ignore la provenance mais qui à une forme accordéon. Je l'ai enroulé et collé sur un morceau coupé de jonc de 4mm de diamètre (C) dans lequel j'ai percé un trou avec un foret de 2,4mm. NB pour éviter les conneries, j'utilise la perceuse visseuse sans fil, plutôt que la Dremel. Dans le trou j'ai collé un clou de tapissier inox (D) sur le quel j'ai collé l'axe en plastique qui relie le compresseur au moteur pour l'entraînement. A l'autre bout du jonc j'ai collé une connecteur type téléphone (E) débarrassé de son câble et retaillé à la bonne dimension.
Bien on met le moteur en place dans le châssis (sans le coller) et on referme dessus la carrosserie toujours en montage à blanc. on referme le capot attention les fils de bougies doivent être le plus près possible du moteur, pour que le tout puisse fermer et là on se dit, mais comment diable vais-je garder ce capot fermé au roulage? Il existe surement une solution avec des petits aimants ou un cerclage en cuir qui n'existait pas sur le modèle taille nature. Mais comme j'aime me compliquer la vie, j'ai choisit de faire un verrouillage par loquet.
Difficile à décrire, je m'en remets donc aux photos ; de toutes façons, vu le nombre de fois que je m'y suis repris, je ne conseille cette solution à personne.
La prochaine étape, consiste à poser la bobine et les conduits d'alimentation de carburant, ainsi que la cloison pare flame.
A suivre...